Je ne pense pas avoir déjà parlé d'Androcell sur La Mojoteque avant, et je dois dire que c'est un tort, mais c'est probablement parce que ses albums ne sont à prix libre que depuis peu. Et d'ailleurs je commence directement par la fin, avec son quatrième album, Imbue, non pas pour dire que le reste ne vaut pas le coup, ce serait assez contre productif de ma part ; mais simplement parce que c'est le dernier que j'aie écouté.
Androcell nous emmène de l'autre côté des portes de la perception, au milieu de vallées étranges bardées de monolithes divins, éclairées par un soleil inconnu, dans un cirque ou les neurones exécutent des pas de danse gracieux, jusqu'à une rencontre sacrée avec la racine de la vie. Non je n'ai rien mangé de particulier, c'est l'effet de la musique, juré.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire